Le détachement

Le concept du lâcher prise peut-être déroutant pour un grand nombre d'entre-nous. Quand en faisons-nous trop ou essayons-nous trop fort de contrôler les gens et les résultats ? Quand en faisons-nous trop peu ? Quand ce que nous faisons est-il une partie appropriée de la préoccupation de soi ? Quelle est notre responsabilité et qu'est-ce qui ne l'est pas ?

Quelquefois, nous pouvons tellement lâcher prise que nous négligeons la responsabilité de nous-mêmes ou des autres. D'autres fois, nous pouvons traverser la ligne entre prendre soin de nous-mêmes et contrôler les autres et les événements.

Il n'y a pas de règlement. Mais nous ne sommes pas obligés de nous rendre fous ; nous n'avons pas à avoir si peur. Si nous sentons le besoin de faire une action en particulier, nous pouvons l'accomplir. Si aucune action ne semble à propos ni inspirée, n'agissons pas.

Avoir et fixer des limites saines - des frontières saines - n'est pas une mince affaire. Nous pouvons nous accorder la permission de faire des expériences, de faire des erreurs, d'apprendre, de grandir.

Nous pouvons parler aux gens, poser des questions et nous questionner. S'il y a quelque chose que nous devons faire ou apprendre, cela deviendra évident. Les leçons ne disparaissent pas. Si nous prenons suffisamment soin de nous-mêmes, nous le verrons. Si nous sommes trop directifs, nous en viendrons à comprendre cela aussi. Les choses s'arrangeront. La voie deviendra claire.

Je viserai donc l'équilibre entre la responsabilité de soi, la responsabilité envers autrui et le lâcher prise.

Anonyme